En conduisant des études de risques, les risk managers s’aperçoivent fréquemment que les personnes sollicitées dé-priorisent, dévalorisent voire ignorent le critère intégrité. Et ce, quel que soit leur secteur d’activité et quelle que soit l’étape de l’appréciation des risques (identification des besoins de sécurité ou évaluation des impacts d’un risque). Ainsi, viennent en tête les deux autres critères : la confidentialité (39%) et la disponibilité (42%) bien devant l’intégrité (16%).
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