Trente ans après le premier ransomware[1], ce type de logiciels malveillants chiffrant les données de leurs victimes jusqu’à l’obtention d’une rançon a toujours le vent en poupe. En 2017, les ransomwares avaient fait la une de l’actualité cyber. En effet, mai 2017 fut marqué par WannaCry qui bouscula le monde entier et causa des pertes consolidées qui s’élèveraient à 4 milliards de dollars. Les entreprises ne s’étaient pas encore remises de cette méga attaque qu’un nouveau ransomware, NotPetya, frappait un mois plus tard, causant 10 milliards[2] de dollars de dommages.

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