Les cyberattaques durant le confinement ont permis un travail de récolte de données (campagnes de phishing, spear phishing, etc.) et d’infection initiale dans les réseaux d’entreprise (par le biais de malwares, keylogger, etc.) qui pourrait donner lieu à des attaques sophistiquées très prochainement. Les cyberattaquants pourraient tout à fait, par exemple, attendre le retour au bureau des télétravailleurs pour activer des ransomwares dormants, installés plusieurs semaines plus tôt.