Ayant passé les deux dernières décennies à travailler dans le monde de la cybersécurité, j’ai pu observer que le chaos provoqué par les catastrophes naturelles et les périodes de troubles civils ou d’instabilité politique entraînaient toujours une augmentation du nombre de cyberattaques menées par des hackers cherchant à profiter de la situation. En effet, dans la panique ou l’urgence, les individus deviennent moins vigilants : la prudence, un de nos mécanismes de protection les plus efficaces, est alors la première à passer par la fenêtre.

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